L’évolution de la technologie a mis au point l’utilisation des monnaies virtuelles ou spécifiquement les bitcoins utilisés dans le cadre des jeux en ligne. Cependant compte tenu de la possibilité de leur usage pour des fins frauduleuses, ces monnaies virtuelles ne seront plus réservées aux transactions entrant dans le cadre des crédits en ligne et seront spécifiquement soumises à certaines régulations financières.
Les caractéristiques des monnaies virtuelles
Par rapport aux monnaies ayant cours légal, comme l’euro, le dollar, le livre sterling, ces monnaies virtuelles ne disposent d’aucune garantie. Par conséquent, aucun remboursement et convertibilité ne pourront se faire légalement. Les transactions effectuées pourront être frauduleuses et la légalisation ne sera pas apte à assurer aucunement la protection du consommateur pour tout crédit en ligne. Aucune réclamation ne sera reconnue et également garantie pour l’usage de ces monnaies virtuelles pour les crédits en ligne.
Compte tenu de leurs caractéristiques et l’anonymat total de toutes les transactions effectuées pour ces credit en ligne, ces monnaies virtuelles sont surtout utilisées pour le financement des activités illégales et pour assurer le développement des blanchiments d’argent ou de capitaux.
Les précautions nécessaires pour assurer un crédit en ligne
Pour limiter ces usages frauduleux en utilisant les avantages des crédits en ligne, il est conseillé d’annuler l’anonymat des transactions et garder un plafonnement sur le montant maximum des paiements en monnaies virtuelles. Une coopération internationale s’avère ainsi indispensable pour lutter contre le blanchiment d’argent qui favorise particulièrement l’objet de l’usage de ces monnaies virtuelles. De cette manière, l’échange de ces monnaies virtuelles en devises officielles devra être également légalisé.
A titre d’exemple, l’encadrement international de l’usage des monnaies virtuelles sera largement bien défini et visera la prévention de leurs usages à des fins frauduleuses pour les crédits en ligne ou favorisera d’une manière positive la lutte contre le blanchiment d’argent et des capitaux ainsi que le règlement des transactions criminelles.
Parmi les pays Européens, La France a été le premier pays à prendre position en faveur du développement des plateformes d’échange de ces monnaies virtuelles. Par ailleurs, elle a frappé fort en indiquant que les avoirs en monnaies virtuelles seront assujettis à un impôt.